« Demain » par Cyril Dion et Mélanie Laurent

Demain : Et si le secret de la réussite, c’était d’être ensemble ? Les initiatives locales sont plus fructueuses que les systèmes pyramidaux.

Date du documentaire : 2015

Dans un monde dirigé par les grandes entreprises, où chacun est en compétition contre les autres, et si le secret de la durabilité c’était de s’unir et de créer des microsociétés ?

Agriculture

Il est possible d’augmenter la rentabilité des terres agricoles en effectuant des plantations mixtes :

Extraits

26:15 « Avec ce semoir de précision, où je peux semer six rangs de légumes, en un aller-retour, je sème 12 rangs de légumes, là où un tracteur n’en cultiverait que 3. »

Personnages de dessins animés de gens heureux appréciant le jardinage et la plantation de travaux agricoles isolés ensemble

26:30 « Avant la mécanisation, on fait des cultures associées. Je sème 12 rangs de carottes, 12 rangs de radis, et puis, je repique, par exemple, en l’occurrence 2 rangs de choux de Bruxelles. »

26:41 « Sur 80 cm de large, j’ai 24 rangs de légumes et 2 rangs de choux. C’est un des secrets de la productivité. Des outils innovants qui sont simples, manuels, qui permettent de créer un rendement au m² qui paraît fou à un maraîcher normal ».

La monoculture n’a pour intérêt que de simplifier les opérations logistiques (plus avantageux à court-terme).

Comment vivrions-nous sans pétrole ? La permaculture a pour but de travailler avec la nature plutôt que contre elle, en cherchant à imiter les processus écologiques pour produire de la nourriture, des ressources, ou des habitats de manière efficiente et régénératrice.

Économie

Soutenir les économies locales. Créer une monnaie locale qui ne s’échange que localement. L’argent qui atterrit localement est réutilisée localement – pas forcément pour les actionnaires et les plus riches.
Les monnaies euro, dollar, etc, sont utilisées pour la communication avec l’extérieur.

livres sterling volant dans les airs

Extraits

1:07:16 « Quand deux communautés, deux économies, interagissent, si elles dépendent complètement de leurs importations et ne fabriquent plus rien, la qualité de leur relation est très différente d’endroits plus résilients, où on produit la nourriture sur place, on produit l’énergie, on gère l’eau. »

Démocratie

La révolution islandaise, aussi appelée révolution des casseroles, est un ensemble de mouvements de protestation survenus entre octobre 2008 et janvier 2009 en Islande, suite à la crise financière.
La bulle a éclaté lorsque les trois banques ont fait faillite, marquant ainsi la plus grande faillite bancaire jamais enregistrée par un pays dans l’histoire économique.

Les islandais ont repris le contrôle, du moins jusqu’à la dernière étape du processus.

Extrait

1:33:57 « Désomais, c’est aux députés d’entériner le texte, mais les conservateurs le bloquent. Ça fait maintenant 4 ans. À cause des institutions, ce sont les élus qui ont le pouvoir de valider ou non ce que la population a décidé. Dans ce cas précis, ils sont allés contre sa volonté. »

Extrait sur un autre exemple, l’Inde


1:36:47 « Depuis 1950, l’Inde était devenue la plus grande démocratie. Elle était gangrénée par la corruption, les inégalités, les castes mais il y avait une démocratie locale révolutionnaire dans le village de Kuthambakkam.

La ville bleue et Fort de Mehrangarh à Jodhpur. Rajasthan, Inde
Image d’illustration

L’histoire réunit des ingrédients hautement improbables. Elle commence avec Elango, un intouchable, renié à l’enfance, qui fait de hautes études, devient chimiste, parvient à se faire élire maire, et ne cherche même pas à garder le pouvoir pour lui. Les habitants ne se parlent pas, ne se touchent pas, mais se réunissent en assemblée pour prendre les décisions ».

Les citoyens, impliqués, se réunissent et sont unis pour prendre des décisions à l’échelle du village. Les routes sont réparées, des logements construits, le système d’eau, etc. Ils construisent une vraie démocratie.

Si, les habitants prennent le pouvoir (ou plutôt le partagent, c’est plus démocratique !), ils peuvent donner un meilleur demain pour tous.

Éducation

Impliquer les jeunes générations, leur donner de l’autonomie et de l’indépendance.
Depuis le lancement du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) en 2000, les élèves des pays nordiques régulièrement affiché de bons résultats.


En Finlande, la politique d’apprentissage est plutôt basée sur la compréhension de soi en tant qu’individu mais aussi sur la compréhension de son environnement. Tandis qu’en France, on cherche à inculquer à l’élève, un lot de connaissances théoriques considéré comme nécessaire à son développement en qu’individu mais aussi en tant que membre de la société.

Les jeunes Finlandais apprennent non seulement les maths, le finnois et l’histoire, mais aussi à tricoter, à coudre, à fabriquer des vêtements, à travailler le bois, le métal, le cuivre, à construire des objets, à laver leur linge, à ranger, à nettoyer, à cuisiner, à dessiner, à peindre, à jouer des instruments.

Une relation de confiance règne entre enseignants Finlandais, considérés, et étudiants, plus à l’écoute de leurs professeurs. Un vrai accompagnement et de vrais liens sont tissés entre enseignants et élèves car chacun a des choses à enseigner à l’autre.

Partie II : l’éducation en Finlande

Les mains d’applaudissements se sont fixées sur le style doodle. Croquis de mains humaines, gribouillis bras ondulant des applaudissements sur fond blanc, silhouette gestuelle du pouce vers le haut

La Finlande, pays d’introvertis,…
Ce blog s’intéresse à l’apprentissage de l’Anglais en autonomie, sans dépendre des autres. En fait, il est bien de s’associer mais vous avez probablement témoigné d’expériences frustrantes lorsqu’un organisme vous impose quoi vous apprendre, sans personnalisation particulière, en étouffant la créativité.
C’est comme un guide de survie, au lieu d’importer les connaissances et de dépendre d’un fournisseur, construisez vos usines chez vous. Vous n’aurez plus besoin de moi après.

Nous nous éloignons de la chronique de ce documentaire, pour détailler davantage l’aspect éducation en Finlande. En effet, le documentaire de deux heures termine par l’aspect éducation (et si l’autonomie et la réflexion par soi-même pouvaient amener à un meilleur monde ?) mais j’ai voulu approfondir cet aspect et donner d’autres réflexions prolongeant le documentaire.

Comment apprendre ?

En Finlande, le système éducatif est conçu de manière à accompagner les enfants dans leur développement personnel et social à travers différentes étapes d’apprentissage, qui s’articulent autour de la découverte de soi, de son environnement immédiat, et de la société. Ces étapes sont souvent décrites sous les concepts suivants : « Moi et la maison », « Moi dans la maison » et « Nous dans la société ». Chacune de ces phases correspond à un âge précis et à des objectifs spécifiques pour favoriser une compréhension holistique du monde, du développement de l’individu à son intégration dans la communauté. Pour le préparer au monde de demain.

1. Moi et la maison (enfance)

Cette première phase correspond à l’apprentissage précoce, généralement de l’âge de 0 à 6 ans, avant l’entrée à l’école primaire. Durant cette période, l’enfant découvre son identité personnelle et son environnement immédiat. Le but est d’aider l’enfant à comprendre qui il est, à développer son autonomie et à se familiariser avec les concepts de base du monde qui l’entoure, comme sa maison, ses proches et ses routines quotidiennes.

Les principaux aspects de cette phase sont :

  • Développement de l’identité personnelle : L’enfant apprend à reconnaître ses émotions, ses goûts, et commence à développer une confiance en soi à travers des activités ludiques. C’est une période axée sur l’exploration libre.
  • Apprentissage de l’autonomie : À travers des activités de la vie quotidienne comme s’habiller, manger ou ranger, l’enfant acquiert des compétences pratiques et commence à comprendre les bases de la responsabilité individuelle.
  • Découverte de l’environnement immédiat : L’enfant explore son cadre de vie – la maison, les proches, le jardin – et développe une première compréhension de l’espace et de son rôle dans cet environnement.

Le jeu est une activité centrale pendant cette phase. Le système éducatif finlandais encourage les jeux symboliques, les activités en plein air et l’interaction sociale pour que les enfants découvrent le monde à leur rythme, sans pression académique.

2. Moi dans la maison (école primaire)

Cette deuxième phase correspond généralement à l’âge de 7 à 12 ans, pendant les premières années de l’école primaire. À ce stade, l’enfant approfondit sa compréhension de son rôle dans son foyer, dans sa famille et au sein d’un groupe plus large. L’apprentissage devient plus structuré et l’enfant commence à relier son développement personnel à ses relations avec les autres et à son environnement élargi.

Les principaux aspects de cette phase sont :

  • Coopération et vie en communauté : Les enfants apprennent à travailler ensemble et à prendre en compte les besoins des autres membres de leur famille et de leur classe. Cela développe leur sens de la collaboration et de l’entraide.
  • Responsabilité et prise de décision : L’enfant commence à participer activement aux décisions familiales ou scolaires. Par exemple, ils peuvent être impliqués dans la gestion des tâches domestiques, ce qui renforce leur sens des responsabilités.
  • Introduction à la citoyenneté : Ils commencent à comprendre des concepts plus larges comme les règles, les droits et les responsabilités, à la maison et à l’école. Cela sert de fondement à la construction de leur compréhension des systèmes sociaux plus larges, comme la communauté et la société.

L’éducation pendant cette phase est encore très centrée sur l’enfant et son développement global. Les écoles finlandaises mettent l’accent sur la créativité, la résolution de problèmes, et les méthodes d’apprentissage coopératives, tout en respectant le rythme de chaque enfant.

3. Nous dans la société (adolescence)

Rue route ville blanche noir graphique paysage esquisse

Cette dernière phase, qui commence autour de l’âge de 13 à 16 ans (collège), met l’accent sur l’intégration de l’individu dans la société. Les jeunes approfondissent leur compréhension de leur rôle dans des structures sociales plus larges et explorent les questions de citoyenneté, de justice, de culture et de politique. Ils sont amenés à réfléchir à leur place dans la société, à leurs responsabilités et aux actions qu’ils peuvent entreprendre pour contribuer au bien commun, et à demain.

Les principaux aspects de cette phase sont :

  • Conscience sociale et politique : Les élèves abordent des sujets comme les droits de l’homme, la démocratie, le climat, et le fonctionnement de l’économie et du gouvernement. L’objectif est de leur permettre de devenir des citoyens actifs et conscients.
  • Réflexion éthique et morale : Ils apprennent à aborder des dilemmes moraux et éthiques, à réfléchir sur les valeurs personnelles et collectives, et à comprendre l’importance de la justice sociale.
  • Engagement communautaire : Des projets en lien avec la communauté, comme des activités de bénévolat ou des actions environnementales, sont encouragés afin de montrer aux élèves qu’ils peuvent jouer un rôle actif dans l’amélioration de leur environnement social.

Cette phase prépare les élèves à devenir des citoyens responsables et autonomes, capables de participer à la vie démocratique de leur pays. En Finlande, l’apprentissage de la participation citoyenne est essentiel dès cet âge pour encourager une société inclusive et durable.

Méthode parfaite

Une pile de feuilles de papier vierges et un crayon sur un fond blanc. La crise créative ou le début d'un nouveau roman

Il n’existe pas de méthode parfaite mais quand un système semble si cohérent et si proche de la « nature », on peut quand même se poser des questions.

Je m’intéresse à apprendre le Finnois, oui pour son système, mais aussi pour un respect du calme et des conversations profondes. En effet, j’ai beau essayer de me tourner vers l’extraversion comme on le voudrait en France mais je n’y arrive pas et avec le recul je ne veux pas. Et c’est ainsi que de nouvelles aventures commencent…

Partie III : S’entourer ?

Il faut savoir s’entourer des bonnes personnes.

Si vous avez un projet entrepreneurial, vous êtes un intrus dans la société, comme moi. Il vaut mieux s’isoler et ne pas s’entourer de gens qui ne vous comprennent pas.
Si vous vous plaignez de l’entreprise pour laquelle vous travaillez, et que vous pensez que vous êtes le seul, consultez cette chaîne et rendez-vous compte que vous n’êtes pas le seul.

Les groupes ne sont qu’une chose superficielle : nous voyons ou pas que vous êtes entourés.

Ce qui compte, c’est l’aspect fusionnel du groupe.

Vos buts

  • Groupe qui tire vers le bas : les cliques sont des groupes d’intérêt qui se constituent dans les entreprises et elles sont le cancer ce celle-ci. Elles la détruisent de l’intérieur, elles réduisent la productivité, réduisent la satisfaction du travail, chassent les bons, les meilleurs éléments de la boîte, détruisent même le revenu de celle-ci.
  • Groupe qui tire vers le bas : les groupes irrespectueux de ce qui ne veulent pas boire de l’alcool. Afterwork, team building… En plus ça coûte cher.
  • Groupe neutre : indifférence envers vous. Passagers de train, piétons, collègues hors de votre cercle.

  • Groupe neutre : les groupes où nous avons du mal à partir/conserver sa souveraineté. Préavis de 3 mois en entreprise…
  • Groupe qui tire vers le haut : Un mastermind est un cercle fermé de personnes sélectionnés pour leur sérieux (et filtrés par un prix d’entrée très élevé).
    Les membres du mastermind possèdent des objectifs communs, et se réunissent régulièrement dans dans des lieux prestigieux pour échanger des idées, partager des expériences et s’entraider mutuellement dans l’accomplissement de leurs projets.

    La force du groupe est l’intelligence collective.
  • Groupe qui tire vers le haut : l’apprentissage peer-to-peer est une méthode dans laquelle les apprenants/élèves s’enseignent mutuellement. Cette approche favorise l’autonomie, la responsabilité collective et une forme d’égalité entre les participants, tout en s’appuyant sur des points de vue et des expériences.

    L’école 42 de Xavier Niel s’inspire de l’apprentissage peer-to-peer.

Conserver son intégrité dans le groupe

L’interdépendance, telle qu’elle est illustrée dans le documentaire Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent, nous pousse à collaborer et à développer ensemble des projets en reconnaissant que nos actions individuelles ont un impact collectif, et que nous sommes plus forts lorsque nous travaillons ensemble. Dans un monde de plus en plus complexe, l’interdépendance permet de mutualiser les ressources, les compétences et les idées, favorisant des solutions durables.

Voici quelques exemples du documentaire Demain qui illustrent comment l’interdépendance peut aider à développer des projets collectifs :

Exemples

  • Agriculture urbaine à Détroit : Dans la ville de Détroit, des habitants se sont réunis pour transformer des terrains abandonnés en jardins communautaires. Cette initiative repose sur l’interdépendance entre les citoyens qui se partagent les tâches, les connaissances et les récoltes, créant une forme de résilience alimentaire. Cela montre comment l’interdépendance peut aider une communauté à se réapproprier son autonomie alimentaire tout en renforçant les liens sociaux.
  • Système de permaculture à Totnes, au Royaume-Uni : Totnes, un village pionnier dans la transition écologique, met en avant l’idée que la coopération et la mutualisation des ressources sont clés. Les habitants développent ensemble des systèmes de permaculture et d’économie locale (monnaie locale), s’aidant mutuellement à développer une agriculture durable et une économie plus circulaire. L’interdépendance est ici le moteur du développement de solutions écologiques partagées.
  • Coopérative énergétique à Copenhague : Le film présente des coopératives qui investissent dans les énergies renouvelables, comme les éoliennes. Les citoyens de Copenhague se sont unis pour financer et exploiter des parcs éoliens. Ce projet montre que l’interdépendance permet de mobiliser des ressources collectives pour atteindre des objectifs communs, ici, la transition vers une énergie durable.

Dans chacun de ces exemples, l’interdépendance est une force motrice pour unir les compétences, les ressources et les visions afin de construire des solutions plus solides et durables. En collaborant, les gens créent des projets qui bénéficient à la fois à l’individu et à la communauté, tout en renforçant la résilience face aux défis mondiaux.

Il suffit de regarder comment le documentaire est monté et ficelé.

Remarque personnelle :

Le sommet de toute entreprise est rempli d’incompétents. Ces individus prennent des décisions illogiques voire dangereuses pour la survie de l’entreprise. Pas tous mais la majorité. On ne peut rien faire car ils ne vous écouteront pas (même s’ils veulent changer) et il faudra passer par eux (ou leurs successeurs) avant de prendre leur poste. Partez.

Points forts du documentaire Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent :

  • Inspirant !
  • La diversité des personnes interrogées est remarquable.
  • Des éléments sont prouvés pour un monde meilleur. Des choses tristes pourraient en effet être réparées.

Points faibles du documentaire Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent :

  • Peut-être insister un peu plus sur l’aspect « difficile d’influencer les politiques », donc à la place « soyez heureux dans votre propre cercle d’influence ». Peut-être qu’ensuite vous arriverez à obtenir une portée. Idem, difficile de réparer le climat.

Ma note : ★★★★ sur cinq

1. Pourquoi le documentaire Demain a-t-il connu un tel succès lors de son lancement ?

Le succès du documentaire Demain s’explique par sa capacité à aborder des problématiques environnementales et sociétales de manière optimiste et constructive. Au lieu de se concentrer uniquement sur les problèmes, il met en avant des solutions concrètes et inspirantes mises en œuvre par des communautés à travers le monde. Cette approche positive et engageante a résonné avec un public en quête de réponses et d’espoir face aux défis actuels.

2. Quelles sont les trois idées clés du documentaire ?

Les trois idées clés du documentaire sont :

  • L’urgence d’agir : Prendre conscience des enjeux écologiques, sociaux et économiques actuels et la nécessité d’agir rapidement pour changer les choses.
  • La puissance de l’initiative locale : Mettre en avant des projets et des initiatives locales qui offrent des solutions innovantes et durables.
  • L’importance de la collaboration : Souligner que le changement nécessite la coopération entre individus, communautés et institutions pour créer un impact significatif.

3. Quel est le thème central proposé par Cyril Dion et Mélanie Laurent dans le documentaire Demain ?

Le thème central du documentaire est la recherche de solutions durables et innovantes face aux crises environnementales et sociales. Il s’agit de montrer qu’il est possible de construire un avenir meilleur en s’appuyant sur des initiatives locales et l’engagement citoyen.

4. À qui s’adresse le documentaire Demain ?

Le documentaire s’adresse à un large public, notamment aux citoyens, aux décideurs, aux jeunes et à toutes les personnes intéressées par les questions environnementales, sociales et économiques. Il vise à sensibiliser chacun à l’importance de l’engagement collectif pour le changement.

5. Quels sont les exemples concrets d’investissement ?

Le documentaire présente plusieurs exemples concrets d’investissements, tels que :

  • L’agriculture urbaine à Détroit, où des espaces abandonnés sont transformés en jardins communautaires.
  • Les coopératives d’énergie renouvelable, comme celles à Copenhague, où les citoyens s’unissent pour investir dans des projets d’énergie verte.
  • Les monnaies locales, qui favorisent l’économie circulaire et soutiennent les commerces locaux.

6. Quoi lire ou quoi regarder pour développer les conseils et lancer dans Demain ?

  • Livres recommandés :
    • La Terre en héritage de Pierre Rabhi
    • Ecolonomie de Pierre Rabhi
  • Documentaires recommandés :
    • Demain, tous crétins de Jean-Paul Jaud
    • Nos enfants nous accuseront de Jean-Paul Jaud
    • 2040 de Damon Gameau, qui explore un avenir durable.

7. Citations issues du documentaire

1:07:16 « Quand deux communautés, deux économies, interagissent, si elles dépendent complètement de leurs importations et ne fabriquent plus rien, la qualité de leur relation est très différente d’endroits plus résilients, où on produit la nourriture sur place, on produit l’énergie, on gère l’eau. »

1:36:47 « Les habitants ne se parlent pas, ne se touchent pas, mais se réunissent en assemblée pour prendre les décisions ».

Des idées importantes du documentaire incluent l’idée que « le changement est possible » et que « chaque action compte ». Ces concepts soulignent la capacité de chaque individu à contribuer au changement.

8. Comment le peuple a accueilli le documentaire Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent ?

Le documentaire a été largement bien accueilli par le public, suscitant de l’enthousiasme et de l’espoir. Les spectateurs ont apprécié son message positif et constructif, ainsi que les exemples concrets présentés, ce qui a entraîné des discussions et des initiatives dans diverses communautés.

9. Quel fut l’impact du documentaire ?

L’impact du documentaire a été significatif, inspirant de nombreuses initiatives locales et des mouvements citoyens. Il a encouragé des discussions sur la durabilité, l’engagement communautaire et les alternatives aux systèmes économiques traditionnels, en stimulant un désir de changement au sein de la société.

10. Quelles sont les perles de sagesse tirées du documentaire ?

Les perles de sagesse incluent l’idée que « chacun peut être acteur du changement » et que « les solutions existent déjà localement », mettant en lumière l’importance de l’engagement individuel et collectif.

11. Qui est Cyril Dion ?

Cyril Dion de face

Cyril Dion est un réalisateur, écrivain et acteur engagé dans les questions environnementales et sociétales. Il est co-auteur du documentaire Demain et a participé à d’autres projets portant sur la durabilité et l’écologie.

12. Qui est Mélanie Laurent ?

Mélanie Laurent de face

Mélanie Laurent est une actrice, réalisatrice et militante française. Elle est connue pour son travail au cinéma ainsi que pour son engagement dans des causes environnementales et sociales. Elle co-réalise le documentaire Demain avec Cyril Dion.

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