Les obstacles de la vie courante

Je suis toujours parti du principe que les entreprises privées étaient heureuses de nous prendre de l’argent. Alors pourquoi trouver un logement, un CDI, une alternance est si difficile ??? Alors que c’est chose courante.

Je me sers de la crème de la crème : l’article est inspiré ou repris de deux sources mieux placées que moi pour décrire la situation.
Cet article est fortement inspiré de ChatGPT et du livre d’Olivier Roland.

La satisfaction personnelle

Lorsque nous achetons un meuble IKEA…
…Nous devons le monter.
Nous en sommes plus fiers que si quelqu’un l’avait monté à notre place.

C’est pourquoi, nous sommes fiers de ce que nous avons conçu à la sueur de notre front.
J’ai MON logement ! Je vis DANS LE SUD !

Je suis heureux d’avoir une vie COMME LES AUTRES !

Heureux de soutenir la FRANCE ! Notre FAMILLE ! Notre ENTREPRISE ! Nos COLLÈGUES !

Mouais. Je crois qu’il y a une perte de sens.

Je crois que tout effort pour sortir de notre situation est démesuré. Nous sommes si confortable là où nous sommes.

Ce que dit Olivier Roland – blogueur, à la recherche de liberté

Imaginons un scénario typique plutôt positif.

• De longues études vous ont permis de décrocher un bon poste de cadre dans une multinationale dynamique au prix d’un fort rendettement pour régler les frais de votre école, votre logement, votre équipement informatique, et les dépenses du quotidien durant cinq ans.

• Vos parents vous ont un peu aidés, mais vous avez dû faire face à la majorité des dépenses seuls à l’aide d’une petite bourse, d’un job d’été alimentaire, et d’un gros prêt à la banque.

• Vous découvrez petit à petit les joies du travail dans un grand groupe, les rivalités internes, les tensions politiques, les effets de mode, un nouveau chef qui débarque de nulle part et qui vous mène la vie dure, la lente progression à travers les échelons de la hiérarchie, les rumeurs et les commérages sans compter les mauvaises blagues à la machine à café.

• Votre salaire augmente lentement, mais vous avez toujours l’impression de ne pas gagner assez, surtout depuis que vous êtes mariés et que vous avez contracté cette empreinte pour acheter votre maison, sans compter le fait que votre conjoint est peut-être plus dépensier que vous et que vous l’êtes peut-être devenu vous-même.

• Les enfants qui arrivent dans votre vie y occupent rapidement un budget à part entière, votre animal de compagnie, vos vacances bien méritées, les loisirs par-ci et par-là, etc.

• Finalement, arrivé à la quarantaine, vous avez une bonne position dans l’entreprise avec un salaire raisonnable malgré les dépenses qui ont inexplicablement suivi de près toutes vos augmentations. Vous souffrez d’un léger surpoids, de douleurs au dos et de quelques rides qui commencent à marquer votre visage, ce qui est bien naturel après les différentes périodes de stress et de surmenage que vous avez dû affronter pour arriver là où vous en êtes.

• Néanmoins, vous avez un peu l’impression de stagner depuis quelques temps, vos supérieurs semblent moins enthousiastes quand vous leur parlez d’évolution de carrière et vous-même commencez parfois à rêver d’autre chose, peut-être d’un cadre de travail un peu moins formel dans lequel vous pourriez vous épanouir davantage et avoir une vie personnelle un peu plus équilibrée et comble du fantasme, peut-être son propre chef pour vous dire sans arrêt quoi faire.

• Les années passent, vous arrachez de haute lutte un poste plus important au prix d’un gros sacrifice, un déménagement dans une région que vous n’aimez pas, heureusement en partie payé par l’entreprise, davantage d’heures de travail, et vous vous rendez compte que ce travail vous convient de moins en moins.

• Vous rêvez d’être moins stressé, plus libre et sans patron, mais votre job est plutôt bien payé et vous avez à présent un train de vie qui rend difficile, toute baisse de revenus, sans compter les études de vos enfants dont le coût est vraiment exorbitant et vous vous êtes battus pour obtenir ce poste. Vous n’allez quand même pas le lâcher comme ça alors que beaucoup rêvent d’avoir votre place même si vraiment vous n’aimez pas cette région.

• Et puis vous êtes habitué à cette entreprise, à ces conflits politiques et ces petits querelles et après tout, vous aussi, vous faites des blagues pas terribles à la machine à café, on ne peut pas dire que ça détend. Vous mettez donc vos rêves de côté, vous supportez bon en, mal en, le stress, les tensions, les mauvais côtés de votre job.

• Au bout de quelques années, vous essayez d’évoluer vers un nouveau poste, mais vos supérieurs se montrent vraiment peu enthousiastes, vous finissez par comprendre que vous n’irez pas plus haut dans la hiérarchie. Vous vous demandez alors à être muté dans une région qui vous convient mieux.

• Au bout de quelques mois, votre supérieur vous propose un poste un peu placard, mais plus tranquille, dans une région qui vous convient et serait sur le gâteau, sans base de salaire, mais sans augmentation. Donc le poste n’est pas très intéressant en lui-même, mais il est définitivement plus tranquille et vous permettra de vous poser un peu avant la retraite que vous attendez de plus en plus impatiemment.

• Peut-être qu’enfin, après des décennies passées à travailler pour un tiers d’autre, vous pourrez commencer à réaliser vos rêves et profiter vraiment de la vie.

…Et donc, pour l’Anglais ?

Imaginons un scénario similaire dans le contexte de l’apprentissage de l’anglais.

• Après plusieurs années de cours classiques, de manuels scolaires et d’applications de vocabulaire, tu as l’impression de stagner. Dès le début, tu étais motivé, prêt à apprendre et à t’investir dans des méthodes traditionnelles.

• Cependant, malgré ton engagement, tu n’as jamais vraiment atteint le niveau souhaité. La grammaire complexe, les règles sans fin et les exercices répétitifs t’ont épuisé, et tu te sens coincé dans une routine où tu as l’impression d’apprendre sans réellement progresser.

• Au fil du temps, tu as commencé à adopter une attitude plus résignée. Peut-être que les progrès sont lents, mais tu continues d’utiliser ces mêmes méthodes par habitude, car elles semblent être « le chemin classique » pour réussir. Après tout, c’est ce que la plupart des gens font.

• Cependant, à chaque fois que tu essaies d’avoir une conversation réelle en anglais ou de regarder un film sans sous-titres, tu te rends compte que tu n’es pas aussi à l’aise que tu l’espérais. Cela te décourage et te pousse à remettre en question les méthodes que tu as suivies depuis des années.

• Comme dans le scénario professionnel, tu as l’impression d’être piégé dans un processus qui ne te convient pas, mais auquel tu t’accroches parce que tu ne sais pas vraiment comment en sortir. Tu vois peut-être d’autres personnes réussir avec ces méthodes, ou tu penses que si tu changes tout, tu risques de perdre ce que tu as déjà construit, même si cela ne t’a pas mené là où tu voulais être.

• La solution pourrait être de repenser ton approche : te détacher des méthodes classiques qui te maintiennent dans cette zone de confort sans réelle progression, et explorer d’autres moyens d’apprendre, plus adaptés à ton profil d’introverti.

• Par exemple, au lieu de te concentrer uniquement sur les manuels ou les cours en classe, tu pourrais expérimenter avec des approches plus naturelles comme l’écoute active de podcasts intéressants, la pratique écrite à travers des discussions en ligne, ou même des échanges individuels basés sur des conversations profondes qui t’intéressent.

• Comme dans le cas du travail, il s’agit d’un dilemme entre rester dans des méthodes que tu connais, mais qui ne te conviennent plus, ou explorer des chemins moins traditionnels, plus en phase avec la manière dont tu apprends et t’épanouis. Si tu trouves des techniques qui te permettent de t’immerger dans l’anglais sans subir la pression des méthodes classiques, tu pourrais retrouver l’envie d’apprendre et, enfin, sentir que tu progresses de manière significative.

Ce que dit Olivier Roland

• Vous le savez, la vie est courte, bien trop courte pour la passer à vivre dans des systèmes, écoles, grandes entreprises, qui étouffent vos talents et vos aspirations pour la perdre, à essayer de vous intégrer à un système qui va étouffer votre créativité, étouffer votre voix intérieure qui a soif de vivre et qui veut crier au monde entier au passage.

• Car les rebelles intelligents ont en eux une voix débordante d’énergie, insistante, puissante, qui leur crie qu’il y a d’autres voies possibles que le métro, boulot, dodo, et qui doivent briser le statu quo.

• Vous voulez autre chose qu’une occupation ennuyeuse en échange d’un salaire pour survivre et acheter les derniers gadgets à la mode qui ne vous apportent qu’une satisfaction temporaire et qui ne nourrissent pas votre voix intérieure, qui ne satisfait rien d’autre que l’accomplissement de votre potentiel.

• Conscients que la vie est courte, les rebelles intelligents recherchent sans cesse des manières plus rapides, plus efficaces et souvent non orthodoxes d’atteindre leurs objectifs. Mais ils ne savent pas forcément où chercher.

• Ils peuvent se sentir seuls au monde, surtout s’ils sont jeunes ou n’ont pas assez écouté cette voix qui leur dit d’explorer les chemins en dehors du sentier battu pour rencontrer leurs semblables. Ils ont cependant tous quelque chose en commun, même s’ils n’en ont pas vraiment conscience.

• Ce qui compte pour eux, c’est d’exprimer ce qu’ils ont en eux, de vivre leur passion et de ne surtout pas mourir avec la musique encore en eux. Ils ont une mission à remplir, une mission dont personne ou presque ne leur parle, une mission qu’ils sont les seuls à ressentir et qui les fait vibrer.

• Ils veulent en vivre pleinement, comme des êtres importants qui apporteront leur touche propre et non pas comme des robots à qui l’on dit quoi faire.

• Les rebelles intelligents développent à terme une vision pragmatique de l’argent. L’argent c’est un outil, c’est tout. Ils ont conscience que ce qu’ils veulent faire, quelqu’un doit bien le faire et que s’ils ne répondent pas à cet appel, ils dépériront, chausseront leurs pantoufles en ciment et que d’autres personnes ne bénéficieront jamais de ce qu’ils auraient pu apporter. Une perte sèche pour l’humanité et pour eux-mêmes.

• Cette conscience les pousse à apporter de la valeur autrement et cela peut leur faire gagner plus d’argent que la moyenne, ce qui les aidera à toucher davantage de personnes, à apporter davantage de valeur, à diffuser plus largement leurs messages.

• Mais les rebelles intelligents comprennent aussi que ce qui est plus important c’est d’exister pleinement car la vie est courte, l’argent est juste un moyen de gagner du temps car le temps ne peut pas se stocker pour être utilisé ensuite. Le temps perdu en choses futiles est perdu à jamais.

• Ce blog va vous guider dans votre quête pour trouver les passions qui font vibrer votre âme et apprendre à les exprimer tout en sortant des sentiers battus et en tirant votre épingle du jeu.

…Et donc ?

• Tu te sens piégé par les méthodes classiques d’apprentissage de l’anglais, comme beaucoup de gens qui se rendent compte que ces approches ne fonctionnent tout simplement pas pour eux.

• Les cours traditionnels, remplis de règles de grammaire rigides, de listes de vocabulaire et d’exercices répétitifs, semblent déconnectés de ce que tu cherches vraiment. Et pourtant, malgré cette frustration, il peut être difficile de s’en détacher, car ces méthodes représentent la norme et on t’a probablement toujours dit que c’était « la bonne manière » d’apprendre une langue.

• Mais à un moment donné, tu réalises que la vie est trop courte pour continuer à perdre du temps avec des approches qui étouffent ta motivation et ta créativité. Tout comme les « rebelles intelligents » dans le travail, tu ressens ce besoin impérieux de trouver une voie qui te corresponde.

• Apprendre l’anglais devrait être une expérience vivante, enrichissante, quelque chose qui te donne la sensation de progresser et de t’épanouir, plutôt que de t’enfermer dans des cadres qui ne te laissent aucune marge de manœuvre.

• Les méthodes traditionnelles ne répondent pas à ta voix intérieure qui crie qu’il doit exister une autre manière d’apprendre. Et cette voix a raison. Il existe des chemins plus adaptés à toi, des méthodes alternatives qui respectent ton individualité et ton besoin d’expression.

• L’apprentissage de l’anglais peut se faire à travers des conversations profondes, des podcasts passionnants, des lectures captivantes, ou même des voyages imaginaires dans des contextes anglophones, plutôt que des exercices répétitifs qui ne te parlent pas.

• Comme ces rebelles qui ne veulent pas vivre une vie banale, tu ne veux pas te contenter d’apprendre une langue juste pour « survivre » dans un cadre académique ou professionnel. Tu veux apprendre l’anglais pour pouvoir t’exprimer, connecter avec d’autres personnes, et toucher des idées et des cultures que tu n’aurais jamais pu découvrir autrement. Cela demande d’abandonner les sentiers battus et d’oser explorer des approches plus personnelles, plus immersives et plus stimulantes.

Conclusion

Ce blog pourrait justement guider d’autres personnes qui se sentent piégées par les méthodes classiques, en leur montrant des alternatives qui valorisent la passion et la liberté d’apprendre.